Marie La Bourgeoise : Salope Jusqu’Au Bout Des Ongles. Partie 2/2

Cyprien était un bel homme et il le savait, de nombreuses femmes mariées lui couraient après et il se donnait sans compter. Étant au chômage, il effectuait dans sa petite ville et dans les alentours quelques travaux de jardinage se faisant payer au noir. C’était pendant ces travaux, qu’il faisait la connaissance de ces dames voulant gouter au fruit défendu. Il n’était donc pas très aisé, c’était la raison pour laquelle, sa voisine divorcée également venait lui faire le ménage une fois par semaine et se faisait payer en nature. Elle n’était pas amoureuse de lui mais plutôt de sa queue.

Ce soir-là, lorsque j’étais partie en catastrophe le laissant avec son énorme érection, voulant se vider les bourses, il sonna chez la voisine qui l’avait accueilli, non pas les bras ouverts, mais bien les jambes écartées. Cyprien m’en voulait de l’avoir laissé dans cet état mais beaucoup plus de ne pas avoir cédé à ses caprices. C’était un dominant et j’aimais cela. Il se doutait bien que « sa petite bourgeoise » lui serait utile. J’avais de l’argent, je semblais, d’après les textos enflammés que je lui envoyais depuis trois jours, que j’avais hâte de faire l’amour avec lui. À n’en pas douter, il savait qu’il pourrait me faire faire ce qu’il désirait, il avait donc l’intention de profiter de moi.

Ce soir-là, lorsque je m’étais enfermée dans la salle de bain pour l’appeler, j’étais toute chose d’entendre sa voix, cet homme me subjuguait, j’étais entièrement à sa merci, il m’avait, en quelques heures, conquise. J’avais l’impression que je ne pourrais pas me passer de lui. Pendant les trente minutes de conversation, il était parvenu à ce que je masturbe et j’avais jouis le téléphone à l’oreille. Avant que je raccroche, il m’ordonna de passer le lendemain :
— Viens à 11 heures du matin et réserve moi toute l’après-midi.

Je devais faire très attention mais mon mari n’étant pas là, je savais que je pouvais accepter cette invitation sans discuter et je ne voulais surtout pas rater cette occasion.

Lorsque j’avais pénétré dans son appartement, il resta assis sur le canapé en jouant sur son téléphone, sans même venir m’embrasser, il me dit :
— Reprenons où nous en étions la dernière fois. Fous-toi à poil et passe à la cuisine.

Je ne comprenais pas, j’étais tétanisée mais tellement excitée par ses propos que je prenais cela pour un jeu. Je fis exactement ce qu’il me demanda et une fois nue sans qu’il n’ait levé le bout de son nez de son portable, je pénétrai dans sa cuisine. À ma stupéfaction, il y avait une pile d’assiettes, de plats et des couverts qui s’étaient accumulés depuis plusieurs jours. Je savais qu’il était célibataire, néanmoins, je trouvais cela négligé de sa part :
— Tu sais maintenant ce qu’il te reste à faire. Il y a un tablier accroché dans le placard.

Il me prenait pour sa bonniche, sur le coup j’étais un peu en colère mais la situation m’excitait, j’étais nue et avait enfilé le tablier et me mis à faire la vaisselle, espérant qu’il vienne vers moi et me prenne dans ses bras. Au lieu de cela, il était debout devant la porte et me regardait de dos :
— Quel beau cul tu as Marie ! Me dit-il, en venant me caresser les fesses. Après la vaisselle, prépare-moi un petit repas. Je me sers un apéro en attendant.
— Tu ne veux pas rester avec moi ici ? J’aime tant quand tu me caresses. Dis-je en me retournant lui dévoilant ma poitrine découverte.
— Tu es là pour bosser ma chérie. Nous baiserons quand je l’aurai décidé.

C’était de l’humiliation pure et dure, mais je n’arrivais pas à lui en vouloir. Au contraire, je sentais couler un peu de cyprine entre mes grandes lèvres. J’avais hâte qu’il m’embrasse, qu’il me pelote et me prenne comme une salope que j’étais. Il réalisait mon fantasme, je désirais au plus profond de mon être d’être soumise à mon maître et Cyprien l’était devenu.

Toujours assis sur le canapé, je lui apportai son assiette en amenant également la mienne.
Lorsque j’avais voulu m’assoir sur le fauteuil :
— Non ! Reste à la cuisine, c’est la place du personnel. Tu viendras lorsque je te l’ordonnerai.

J’obéis aux ordres sans rien répondre mais après plusieurs minutes me trouvant seule dans cette petite cuisine, je ne savais plus quoi faire. La situation dégénérait et surtout trainait en longueur, le jeu qu’il me faisait faire devenait lassant. J’avais débarrassé et lavé son assiette lorsqu’il me le demanda et attendait nue devant la porte du salon qu’il me dise d’avancer.

Il se leva, alla dans un tiroir de sa commode et en sortit un collier en cuir qu’il s’empressa de me mettre au cou. J’étais enfin heureuse qu’il veuille bien s’occuper de moi :
— Allez sale chienne, à quatre pattes.

Docile j’exécutais ses ordres, il attacha une petite laisse et me promena dans son appartement avant de se rassoir sur un des deux fauteuils me demandant de me coucher devant lui. Il retira ses chaussettes :
— Lèche-moi les pieds maintenant.

Je m’appliquai à le faire et lorsque j’avais voulu lui sucer le gros orteil, il se pencha en avant et me claqua les fesses :
— Je ne t’ai pas demandé de faire ça. Suce plutôt la bite de mon copain.
Prise par l’excitation de ce jeu qu’il me faisait faire, je n’avais pas vu entrer son ami. Celui-ci me regardait de la tête aux pieds en se passant la main sur son entre jambe :
— Comme je t’ai promis Théo, profite de cette chienne, elle est tout à toi.

En effet, n’ayant pu rémunérer son ami pour le dépannage de sa voiture, Cyprien lui avait demandé de le payer en nature. Théo enleva son pantalon et le baissa jusqu’à ses chevilles suivit de son boxer, laissant à ma vue une bite assez longue mais très fine et légèrement recourbée. Je me retournai vers lui et toujours nue à quatre pattes, je pris sans discuter sa queue dans ma bouche pendant qu’il me massait la tête et que Cyprien avait pris possession de mon vagin avec ses gros doigts.


Bandant suffisamment, Théo retira sa queue de ma bouche lorsque Cyprien me demanda de m’allonger pour me masturber :
— Tu vas voir Théo, c’est une vraie fontaine.
En effet, d’être ainsi à la merci de ces deux hommes, cela m’avait mise dans tous mes états, il n’avait pas fallu longtemps avant que je parvienne à atteindre mon premier orgasme, en lâchant une quantité de jouissance quittant ma chatte, en longs traits avant d’atterrir sur le parquet du salon. Cyprien se mit à genoux à côté de moi et me pistonna de ses deux doigts à toute vitesse et là encore, après quelques secondes à ce rythme, j’expédiai une nouvelle salve de liquide qui se répandait sur le sol :
— Putain ! Comme dans les films porno. Dit Théo.
— Allez salope ! Fais-moi une pipe maintenant. M’ordonna Cyprien.

Il m’avait fait m’installer devant lui, debout pliée en deux, les fesses en arrière et pendant que je le suçais comme il aimait :
— Théo, baise cette sale pute. Défonce-lui le cul avant que je l’encule, prépare-moi le passage.

Sous ses airs de dominant, je fus heureuse que Cyprien agisse ainsi, je savais que son pénis était large et j’avais apprécié qu’il demande à son ami de me sodomiser en premier. Théo fut assez délicat, il me massa l’anus avec un lubrifiant et m’avait doigté d’un doigt puis de deux avant de pousser son gland petit à petit. Je fus même surprise que sa bite soit entrée avec si peu de difficulté.

Cyprien se retira de ma bouche et me replaça à quatre pattes sur le canapé, de sorte qu’il me remplisse le vagin pendant que Théo me perforait de nouveau l’anus. Le plaisir montait en moi de plus en plus, sous les coups de reins de mes deux partenaires qui coordonnaient leurs mouvements à la perfection. Je m’étais laissé baiser par les deux trous pendant un long moment. Possédée par ses deux hommes qui faisaient de moi leur chose, je ne contrôlais plus rien et j’adorais ça. J’avais joui longuement, comme si une décharge électrique me parcourait tout le corps, de la tête aux pieds.
Je coulais une nouvelle fois comme une fontaine lorsque je pris mon orgasme en criant mon plaisir, ce qui les avaient fait se retirer.

Enfin, ils se sont présentés devant moi, leur queue devant mon visage, je savais ce que je devais faire. J’avais sucé leurs verges bandantes en les branlant à tour de rôle. Je ne les avais pas lâchés jusqu’à ce qu’ils explosent ensemble, Théo sur mon visage et Cyprien dans ma gorge.

Pendant près d’une heure, après leur avoir servi deux bières qu’ils burent tout en discutant de mon cul et en m’insultant régulièrement, toujours à quatre pattes devant mon maître, Théo passa derrière moi, me malaxer sans ménagement les seins tandis que Cyprien s’allongea sous moi et embrassait fougueusement ma toison puis me lécha avec gourmandise et m’aspira les grandes lèvres en passant sa langue de mon clito à ma fente. En quelques minutes, je me retrouvai entre les mains de deux hommes, qui avaient de nouveau leur bite bien droite et bien raide, sous les caresses manuelles et buccales que je leur prodiguais.

À ce moment-là, Théo s’agenouilla à son tour et dirigea son sexe vers ma chatte déjà trempée de désir et il me pénétra sans ménagement d’un coup sec. Je gémis et criai de plaisir sous cet assaut, sans lâcher pour autant le sexe énorme de Cyprien que je tenais dans la main. Il aventura alors un doigt puis un deuxième dans mon anus déjà dilaté par la bite de Théo. Je gémissais toujours, le visage écrasé contre le bas-ventre de mon amant, pendant que Théo me ramonait toujours le vagin :
— Ton trou du cul est très appétissant ! Tu vas prendre ma bite dans ton cul ma belle » ajouta Cyprien.

J’étais complètement soumise aux désirs de mes deux partenaires de jeu, je ne voulais rien leur refuser. Cyprien pointa sa queue sur mon petit trou et commença à forcer le passage. La grosseur de son sexe semblait trop importante pour passer. Il appuya encore son sexe à l’aide de son pouce et peu à peu, sa large verge disparut entre mes fesses. Je plaquai ma bouche contre Théo pour mes cris qui n’étaient pas que de douleur, car rapidement ces derniers se transformèrent en râles de plaisirs.

Il me besognait avec ardeur, son sexe allait et venait avec une grande facilité. Je prenais enfin son énorme queue au plus profond de moi. À quatre pattes en train de me faire défoncer le cul et la chatte, par ces deux hommes je me retrouvai encore à jouir comme une folle. Cyprien m’enculait toujours à grands coups de reins et soudain il s’arrêta et se plaqua contre ses fesses et râla fortement en se déversant. J’hurlais de plaisir et de surprise en recevant les giclées de sperme tout à l’intérieur de moi, je me foutais qu’il n’ait pas mis de capote, c’était tellement bon de sentir cette douce chaleur couler dans mon rectum.

Il se retira et je sentais le trop plein de semence couler entre mes cuisses. Il s’écroula sur le côté, me laissant dans cette position aux prises avec Théo. Celui-ci allait jouir, il se retira, enleva son préservatif aussi tôt et m’attrapa par les cheveux, afin que je le suce. Il voulait jouir dans ma bouche, ce qu’il fit quelques secondes plus tard dans un râle de plaisir. Ses spasmes traduisaient les giclées de sperme qu’il déversait au fond de ma bouche. Ne voulant pas les décevoir, j’avalai l’ensemble en plusieurs fois, jusqu’à la dernière goutte.

Je me laissai choir en arrière contre le canapé tandis que les deux hommes commençaient déjà à se rhabiller en retournant à la cuisine prendre une nouvelle canette de bière. Théo était parti lorsque j’étais allée prendre une douche réparatrice. Il était l’heure que je rentre, Cyprien m’enlaça et m’embrassa en disant de ne pas oublier de laisser les cinquante euros que je lui avais promis. C’était le prix à payer pour prendre mon plaisir avec l’homme dont je ne pouvais me passer.

Depuis, une ou deux fois par semaine, je viens jouir comme une damnée dans les bras de mon gigolo. Je connais désormais toutes les bites de tous ses amis qu’il invite régulièrement pour que je puisse apprécier comme il se doit, les doubles pénétrations, les doubles vaginales et maintenant, les doubles anales. Je suis tellement accroc de ses baises infernales, que j’ai des difficultés de cacher à mon mari les joies que je connais dans son petit appartement du village voisin mais j’ai retrouvé un certain équilibre et je me sens très bien dans ma peau.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Marie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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